Dans ce qui suit, nous nous efforcerons de montrer la désertification rurale et ses conséquences possibles, le mal être d’une catégorie socio professionnelle en prise avec la grande distribution qui se veut la garante du pouvoir d’achat des consommateurs.
Ce qu’il faut rappeler :
Le programme du candidat François Bayrou sur l’agriculture était prémonitoire ; il anticipe une revalorisation des produits de base, blé et maïs, ce qui se produit à l’heure actuelle avec comme point de départ l’utilisation industrielle des produits agricoles. Dès lors deux conséquences peuvent en être tirées :
- la première concerne les pays en crise de développement qui peuvent revaloriser leur économie agraire
- la seconde concerne nos régions de polyculture souvent défavorisées à la fois par le climat et par le qualité du sol. La résurgence d’une sole céréalière y est possible dans un contexte d’élevage
C’est donc ce dernier point qui retiendra notre attention car notre territoire rural dépend étroitement de la vitalité des exploitations agricoles pour conserver ce maillage rural qui existe encore.
Pour introduire notre propos, nous prendrons comme point de départ une actualité qui touche deux produits de base : le blé (et donc le pain) et le lait.
Il a en effet suffit que le blé revienne à son niveau d’il y a 20 ans pour que le pain subisse de considérables augmentations et il se produit la même chose pour le lait, à ceci près que l’augmentation de 10 cents d’euro pour le consommateur, ne laisse après dures négociations qu’1 cent au producteur.
Tel es bien le dilemme qui nous occupe : que voulons nous consommer ? A quel prix ? Avec quelles contraintes ? Quid des importations ? Doivent-elles être massives et alignées sur les mêmes standards de qualité ?
La liste de ces questions n est pas exhaustive, pour bien cerner le problème nous devons y adjoindre des problèmes aussi divers que l’érosion des sols, la qualité de l’eau, le contrôle des intrants, etc.
En essayant de faire en sorte que les mesures imposées à nos producteurs soient identiques à celles appliquées dans d’autres pays pour lesquels, l’Europe représente un marché de 600 millions d’habitants solvables.
Examinons maintenant notre alimentation composée essentiellement de pain, de viande, de légumes et de laitages.
Leur production doit obéir aux critères d’une agriculture raisonnée, c’est à dire mettant en œuvre un compromis entre des méthodes ancestrales et des méthodes de productivité garante d’un revenu, ce que de façon très majoritaire les agriculteurs ont fait depuis la nuit des temps. Ils n’ont pas attendu l’invention du concept (du mot qui sonne bien) pour l’appliquer : réduire les intrants c’est l’objectif de tout producteur, parce qu’ils coûtent cher.
Nous, consommateurs, sommes de plus en plus sensibles à la qualité des aliments que nous consommons, ce mot pouvant être décliné dans de multiples directions selon le positionnement que l’on a tout au long de la chaîne de production et par ailleurs nous sommes également attachés à nos paysages entretenus largement par l’activité agraire, le fameux équilibre agro-sylvo-pastoral.
Comment concilier tout cela dans un pays tel que le nôtre dont les recettes agro alimentaires à l’exportation sont parmi le peloton de tête ?
Des pistes de recherche existent, au niveau de la répartition des produits sur notre territoire au niveau d’une meilleure prise en compte de la qualité de vie de nos ruraux qui ont été largement mis à contribution pour que la part de l’alimentation dans le budget des ménages soit faible (10 à 15%) mais qui, encore aujourd’hui pour certains, ont des conditions de vie déplorables malgré la mécanisation (chère) qui leur a permis de produire toujours plus en travaillant de façon presque identique pour un revenu identique, voire moindre dans certains secteurs.
Au premier rang des mesures à mettre en place (lentement) existe le rapprochement entre la consommation et la production. Je vous rassure, le pays des choux-fleurs ce sera encore et longtemps la Bretagne et l’ail rose de Lautrec… et toc !
Cependant pour les productions de type « hors sol » inévitables parfois (les cochons à la glandée… ça le fait plus !), une meilleure répartition serait possible en partant de la consommation régionale.
J’entends bien que notre pays avec son centralisme parisien et les quelques autres méga agglomérations ne puisse consommer qu’à partir d’excédents d’autres territoires mais vous conviendrez avec moi que cette répartition est non dénuée de sens tandis que la concentration actuelle entraîne de déplacements de marchandises vivantes ou mortes et donc de nombreux camions sur nos autoroutes.
Il en est de même pour la production laitière ou pour la production de viande, toutes deux à partir d’herbe ou de maïs…
S’intéresser aux OGM c’est bien, faire en sorte que les pâturages soient bien exploités c’est aussi très bien surtout si quelques canadairs sont économisés.
En effet ces animaux qui pâturent, entretiennent notre paysage et le valorisent ; avec des productions aussi diverses que fabuleuses par leur originalité et leurs goûts ; notre candidat dans le contexte de la PAC se prononçait pour une véritable prime à l’herbe, nul doute qu’une telle mesure permettrait un meilleur équilibre surtout dans un contexte de renchérissement des céréales.
Cependant ce type d’élevage est source d’astreinte lourde nécessitant d’être allégées. Les élevages disparaissent en effet un peu à cause du manque de rentabilité mais aussi et surtout à cause de la qualité de vie déplorable qu’ils génèrent, et aussi du fait de leur difficulté d’adaptation aux différentes normes.
Et pourtant demain que sera une commune avec aucun agriculteur présent, aucun élevage présent ?
Il faut donc trouver des passerelles adaptées, innover et cela passe par la recherche.
La recherche :
Elle doit être renforcée, c’est elle qui dossier par dossier sans effet médiatique apportera les véritables réponses sur les OGM mais pas seulement. Sur la définition de modèles de production adaptés à chacune de nos régions dont les effluents seront gérés avec pertinence, dont la charge de travail sera répartie entre différents intervenants afin que pour reprendre les termes déjà définis par cette même recherche : l’agriculteur éleveur ne soit pas à la fois le décideur et l’exécutant.
Une fois définis ces modèles de production on pourra envisager d’autres types de partenariats ; en effet à l’heure actuelle l’application d’une norme se traduit toujours par une mise en conformité obligatoire, alors qu’en construisant des modèles observés dans leur fonctionnement au quotidien on pourrait valider des fonctionnements pour une à deux dizaines d’année ; en effet en agriculture nous sommes sur des échelles différentes y compris et surtout par rapport aux amortissements car un troupeau ne se construit pas du jour au lendemain et il faut trois ans à une petite vêle avant de donner naissante elle-même à une autre petite vêle.
On doit donc construire des centres de production fiables et pour cela une conjonction est nécessaire entre DDA, agriculteurs, services de l’environnement, etc. Mais avec quel capitaine ?
Je verrais bien une mise à disposition de l’agriculteur et de ses terres en propriété et en fermage à ce genre de structures afin que le lien avec le sol soit conservé.
Pour ce qui est de l’environnement paperassier de l’agriculture un suivi qualité me semble nécessaire, mais réalisé en amont et non pas en aval. Par un redéploiement des agents conseillers agricoles on pourrait avoir un suivi plus affirmé et validant vis à vis de l’administration, le conseiller jouant le rôle d’organisme certificateur de 1er niveau.
Le dossier PAC de chaque agriculteur élaboré conjointement avec un conseiller agricole spécialisé sur les productions de l’exploitation pourrait permettre une validation implicite permettant à l’agriculteur d’être déchargé des tracasseries habituelles liées à l’instauration des contrôles ; en effet les éleveurs qui acceptent et sont volontaires pour des raisons techniques de suivis n’ont qu’un faible nombre de non conformités et les plus importantes concernent l’application de normes de stockage ou de bien être c’est pourquoi je préconise la construction de modèles stables sur une durée longue, modèles à définir, je ne prétends pas détenir la solution, par contre cet axe de recherche trouve sa pleine expression à partir de ces exploitations qui se sont maintenues au fil du temps en investissant leur disponible majoritairement dans des mises aux normes, certes nécessaires, mais à courir ainsi derrière des normes, pour des durées d’exploitation qui sont parfois inférieures aux investissements l’exploitant est exploité et s’essouffle (car derrière le modèle familial ou pseudo familial faut il encore préciser si oui ou non il y a une suite c’est à dire un repreneur héritier potentiel) et le thème est immense…
En substance que proposer ?
· une meilleure adéquation des productions en fonction des spécificités régionales et des quantités qui y sont consommées
· un accompagnement accru des exploitations tout au long de leur existence avec un réel partenariat faisant intervenir les chambres d’agriculture et les pouvoirs publics
· la mise au point de modèles de production dont la pérennité soit assurée et mutualisée dans le temps car ce que l’on construit aujourd’hui doit être mieux que ce qui a été construit hier, mais cette évolution et l’effort demandé doit être réparti et non plus être rendu obligatoire parce que découlant de réglementations qui ont pour conséquence de compromettre le niveau de rentabilité
Si l’infrastructure d’un élevage (cheptel, bâtiments) a été créée aux normes en 1995 elle doit pouvoir fonctionner jusqu’en 2015 et ce serait mieux si cet effort était reparti entre les différents acteurs, avec un engagement des pouvoirs publics et non pas une visite de contrôle.
De plus si de l’argent public a servi à la construire cela impose de s’assurer de son fonctionnement et pour cela mieux vaut la détacher de l’exploitation traditionnelle pour la construire géographiquement ailleurs, genre zone industrielle agricole
Ainsi avec une transparence des coûts de production, non pas marge brute mais bien marge nette, une juste rémunération et une qualité de vie comparable aux autres catégories socio professionnelles, une agriculture française pourra perdurer dans des conditions de vie et de travail décentes et faire la richesse de nos terroirs et de nos paysages.
Ce qu’il faut rappeler :
Le programme du candidat François Bayrou sur l’agriculture était prémonitoire ; il anticipe une revalorisation des produits de base, blé et maïs, ce qui se produit à l’heure actuelle avec comme point de départ l’utilisation industrielle des produits agricoles. Dès lors deux conséquences peuvent en être tirées :
- la première concerne les pays en crise de développement qui peuvent revaloriser leur économie agraire
- la seconde concerne nos régions de polyculture souvent défavorisées à la fois par le climat et par le qualité du sol. La résurgence d’une sole céréalière y est possible dans un contexte d’élevage
C’est donc ce dernier point qui retiendra notre attention car notre territoire rural dépend étroitement de la vitalité des exploitations agricoles pour conserver ce maillage rural qui existe encore.
Pour introduire notre propos, nous prendrons comme point de départ une actualité qui touche deux produits de base : le blé (et donc le pain) et le lait.
Il a en effet suffit que le blé revienne à son niveau d’il y a 20 ans pour que le pain subisse de considérables augmentations et il se produit la même chose pour le lait, à ceci près que l’augmentation de 10 cents d’euro pour le consommateur, ne laisse après dures négociations qu’1 cent au producteur.
Tel es bien le dilemme qui nous occupe : que voulons nous consommer ? A quel prix ? Avec quelles contraintes ? Quid des importations ? Doivent-elles être massives et alignées sur les mêmes standards de qualité ?
La liste de ces questions n est pas exhaustive, pour bien cerner le problème nous devons y adjoindre des problèmes aussi divers que l’érosion des sols, la qualité de l’eau, le contrôle des intrants, etc.
En essayant de faire en sorte que les mesures imposées à nos producteurs soient identiques à celles appliquées dans d’autres pays pour lesquels, l’Europe représente un marché de 600 millions d’habitants solvables.
Examinons maintenant notre alimentation composée essentiellement de pain, de viande, de légumes et de laitages.
Leur production doit obéir aux critères d’une agriculture raisonnée, c’est à dire mettant en œuvre un compromis entre des méthodes ancestrales et des méthodes de productivité garante d’un revenu, ce que de façon très majoritaire les agriculteurs ont fait depuis la nuit des temps. Ils n’ont pas attendu l’invention du concept (du mot qui sonne bien) pour l’appliquer : réduire les intrants c’est l’objectif de tout producteur, parce qu’ils coûtent cher.
Nous, consommateurs, sommes de plus en plus sensibles à la qualité des aliments que nous consommons, ce mot pouvant être décliné dans de multiples directions selon le positionnement que l’on a tout au long de la chaîne de production et par ailleurs nous sommes également attachés à nos paysages entretenus largement par l’activité agraire, le fameux équilibre agro-sylvo-pastoral.
Comment concilier tout cela dans un pays tel que le nôtre dont les recettes agro alimentaires à l’exportation sont parmi le peloton de tête ?
Des pistes de recherche existent, au niveau de la répartition des produits sur notre territoire au niveau d’une meilleure prise en compte de la qualité de vie de nos ruraux qui ont été largement mis à contribution pour que la part de l’alimentation dans le budget des ménages soit faible (10 à 15%) mais qui, encore aujourd’hui pour certains, ont des conditions de vie déplorables malgré la mécanisation (chère) qui leur a permis de produire toujours plus en travaillant de façon presque identique pour un revenu identique, voire moindre dans certains secteurs.
Au premier rang des mesures à mettre en place (lentement) existe le rapprochement entre la consommation et la production. Je vous rassure, le pays des choux-fleurs ce sera encore et longtemps la Bretagne et l’ail rose de Lautrec… et toc !
Cependant pour les productions de type « hors sol » inévitables parfois (les cochons à la glandée… ça le fait plus !), une meilleure répartition serait possible en partant de la consommation régionale.
J’entends bien que notre pays avec son centralisme parisien et les quelques autres méga agglomérations ne puisse consommer qu’à partir d’excédents d’autres territoires mais vous conviendrez avec moi que cette répartition est non dénuée de sens tandis que la concentration actuelle entraîne de déplacements de marchandises vivantes ou mortes et donc de nombreux camions sur nos autoroutes.
Il en est de même pour la production laitière ou pour la production de viande, toutes deux à partir d’herbe ou de maïs…
S’intéresser aux OGM c’est bien, faire en sorte que les pâturages soient bien exploités c’est aussi très bien surtout si quelques canadairs sont économisés.
En effet ces animaux qui pâturent, entretiennent notre paysage et le valorisent ; avec des productions aussi diverses que fabuleuses par leur originalité et leurs goûts ; notre candidat dans le contexte de la PAC se prononçait pour une véritable prime à l’herbe, nul doute qu’une telle mesure permettrait un meilleur équilibre surtout dans un contexte de renchérissement des céréales.
Cependant ce type d’élevage est source d’astreinte lourde nécessitant d’être allégées. Les élevages disparaissent en effet un peu à cause du manque de rentabilité mais aussi et surtout à cause de la qualité de vie déplorable qu’ils génèrent, et aussi du fait de leur difficulté d’adaptation aux différentes normes.
Et pourtant demain que sera une commune avec aucun agriculteur présent, aucun élevage présent ?
Il faut donc trouver des passerelles adaptées, innover et cela passe par la recherche.
La recherche :
Elle doit être renforcée, c’est elle qui dossier par dossier sans effet médiatique apportera les véritables réponses sur les OGM mais pas seulement. Sur la définition de modèles de production adaptés à chacune de nos régions dont les effluents seront gérés avec pertinence, dont la charge de travail sera répartie entre différents intervenants afin que pour reprendre les termes déjà définis par cette même recherche : l’agriculteur éleveur ne soit pas à la fois le décideur et l’exécutant.
Une fois définis ces modèles de production on pourra envisager d’autres types de partenariats ; en effet à l’heure actuelle l’application d’une norme se traduit toujours par une mise en conformité obligatoire, alors qu’en construisant des modèles observés dans leur fonctionnement au quotidien on pourrait valider des fonctionnements pour une à deux dizaines d’année ; en effet en agriculture nous sommes sur des échelles différentes y compris et surtout par rapport aux amortissements car un troupeau ne se construit pas du jour au lendemain et il faut trois ans à une petite vêle avant de donner naissante elle-même à une autre petite vêle.
On doit donc construire des centres de production fiables et pour cela une conjonction est nécessaire entre DDA, agriculteurs, services de l’environnement, etc. Mais avec quel capitaine ?
Je verrais bien une mise à disposition de l’agriculteur et de ses terres en propriété et en fermage à ce genre de structures afin que le lien avec le sol soit conservé.
Pour ce qui est de l’environnement paperassier de l’agriculture un suivi qualité me semble nécessaire, mais réalisé en amont et non pas en aval. Par un redéploiement des agents conseillers agricoles on pourrait avoir un suivi plus affirmé et validant vis à vis de l’administration, le conseiller jouant le rôle d’organisme certificateur de 1er niveau.
Le dossier PAC de chaque agriculteur élaboré conjointement avec un conseiller agricole spécialisé sur les productions de l’exploitation pourrait permettre une validation implicite permettant à l’agriculteur d’être déchargé des tracasseries habituelles liées à l’instauration des contrôles ; en effet les éleveurs qui acceptent et sont volontaires pour des raisons techniques de suivis n’ont qu’un faible nombre de non conformités et les plus importantes concernent l’application de normes de stockage ou de bien être c’est pourquoi je préconise la construction de modèles stables sur une durée longue, modèles à définir, je ne prétends pas détenir la solution, par contre cet axe de recherche trouve sa pleine expression à partir de ces exploitations qui se sont maintenues au fil du temps en investissant leur disponible majoritairement dans des mises aux normes, certes nécessaires, mais à courir ainsi derrière des normes, pour des durées d’exploitation qui sont parfois inférieures aux investissements l’exploitant est exploité et s’essouffle (car derrière le modèle familial ou pseudo familial faut il encore préciser si oui ou non il y a une suite c’est à dire un repreneur héritier potentiel) et le thème est immense…
En substance que proposer ?
· une meilleure adéquation des productions en fonction des spécificités régionales et des quantités qui y sont consommées
· un accompagnement accru des exploitations tout au long de leur existence avec un réel partenariat faisant intervenir les chambres d’agriculture et les pouvoirs publics
· la mise au point de modèles de production dont la pérennité soit assurée et mutualisée dans le temps car ce que l’on construit aujourd’hui doit être mieux que ce qui a été construit hier, mais cette évolution et l’effort demandé doit être réparti et non plus être rendu obligatoire parce que découlant de réglementations qui ont pour conséquence de compromettre le niveau de rentabilité
Si l’infrastructure d’un élevage (cheptel, bâtiments) a été créée aux normes en 1995 elle doit pouvoir fonctionner jusqu’en 2015 et ce serait mieux si cet effort était reparti entre les différents acteurs, avec un engagement des pouvoirs publics et non pas une visite de contrôle.
De plus si de l’argent public a servi à la construire cela impose de s’assurer de son fonctionnement et pour cela mieux vaut la détacher de l’exploitation traditionnelle pour la construire géographiquement ailleurs, genre zone industrielle agricole
Ainsi avec une transparence des coûts de production, non pas marge brute mais bien marge nette, une juste rémunération et une qualité de vie comparable aux autres catégories socio professionnelles, une agriculture française pourra perdurer dans des conditions de vie et de travail décentes et faire la richesse de nos terroirs et de nos paysages.
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