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DETTE ? encore et toujours

FRANCOIS BAYROU :

"Le défi environnemental est un aspect du défi du développement durable qui doit être la clé de voûte de ce que nous avons à construire.
La dette, c’est du "durable", du "sustainable"! : nous ne pouvons pas bâtir un modèle de développement sur l’exploitation des générations qui viennent.

Parce que c’est cela que nous faisons! Non plus l’exploitation des esclaves ou des travailleurs manuels, mais l’exploitation des générations qui viennent."

Contribution sur l'Agriculture pour le Forum des Démocrates (Seignosses 13-16 septembre 2007)

Dans ce qui suit, nous nous efforcerons de montrer la désertification rurale et ses conséquences possibles, le mal être d’une catégorie socio professionnelle en prise avec la grande distribution qui se veut la garante du pouvoir d’achat des consommateurs.

Ce qu’il faut rappeler :
Le programme du candidat François Bayrou sur l’agriculture était prémonitoire ; il anticipe une revalorisation des produits de base, blé et maïs, ce qui se produit à l’heure actuelle avec comme point de départ l’utilisation industrielle des produits agricoles. Dès lors deux conséquences peuvent en être tirées :
- la première concerne les pays en crise de développement qui peuvent revaloriser leur économie agraire
- la seconde concerne nos régions de polyculture souvent défavorisées à la fois par le climat et par le qualité du sol. La résurgence d’une sole céréalière y est possible dans un contexte d’élevage
C’est donc ce dernier point qui retiendra notre attention car notre territoire rural dépend étroitement de la vitalité des exploitations agricoles pour conserver ce maillage rural qui existe encore.

Pour introduire notre propos, nous prendrons comme point de départ une actualité qui touche deux produits de base : le blé (et donc le pain) et le lait.
Il a en effet suffit que le blé revienne à son niveau d’il y a 20 ans pour que le pain subisse de considérables augmentations et il se produit la même chose pour le lait, à ceci près que l’augmentation de 10 cents d’euro pour le consommateur, ne laisse après dures négociations qu’1 cent au producteur.
Tel es bien le dilemme qui nous occupe : que voulons nous consommer ? A quel prix ? Avec quelles contraintes ? Quid des importations ? Doivent-elles être massives et alignées sur les mêmes standards de qualité ?
La liste de ces questions n est pas exhaustive, pour bien cerner le problème nous devons y adjoindre des problèmes aussi divers que l’érosion des sols, la qualité de l’eau, le contrôle des intrants, etc.
En essayant de faire en sorte que les mesures imposées à nos producteurs soient identiques à celles appliquées dans d’autres pays pour lesquels, l’Europe représente un marché de 600 millions d’habitants solvables.

Examinons maintenant notre alimentation composée essentiellement de pain, de viande, de légumes et de laitages.
Leur production doit obéir aux critères d’une agriculture raisonnée, c’est à dire mettant en œuvre un compromis entre des méthodes ancestrales et des méthodes de productivité garante d’un revenu, ce que de façon très majoritaire les agriculteurs ont fait depuis la nuit des temps. Ils n’ont pas attendu l’invention du concept (du mot qui sonne bien) pour l’appliquer : réduire les intrants c’est l’objectif de tout producteur, parce qu’ils coûtent cher.
Nous, consommateurs, sommes de plus en plus sensibles à la qualité des aliments que nous consommons, ce mot pouvant être décliné dans de multiples directions selon le positionnement que l’on a tout au long de la chaîne de production et par ailleurs nous sommes également attachés à nos paysages entretenus largement par l’activité agraire, le fameux équilibre agro-sylvo-pastoral.
Comment concilier tout cela dans un pays tel que le nôtre dont les recettes agro alimentaires à l’exportation sont parmi le peloton de tête ?
Des pistes de recherche existent, au niveau de la répartition des produits sur notre territoire au niveau d’une meilleure prise en compte de la qualité de vie de nos ruraux qui ont été largement mis à contribution pour que la part de l’alimentation dans le budget des ménages soit faible (10 à 15%) mais qui, encore aujourd’hui pour certains, ont des conditions de vie déplorables malgré la mécanisation (chère) qui leur a permis de produire toujours plus en travaillant de façon presque identique pour un revenu identique, voire moindre dans certains secteurs.
Au premier rang des mesures à mettre en place (lentement) existe le rapprochement entre la consommation et la production. Je vous rassure, le pays des choux-fleurs ce sera encore et longtemps la Bretagne et l’ail rose de Lautrec… et toc !
Cependant pour les productions de type « hors sol » inévitables parfois (les cochons à la glandée… ça le fait plus !), une meilleure répartition serait possible en partant de la consommation régionale.
J’entends bien que notre pays avec son centralisme parisien et les quelques autres méga agglomérations ne puisse consommer qu’à partir d’excédents d’autres territoires mais vous conviendrez avec moi que cette répartition est non dénuée de sens tandis que la concentration actuelle entraîne de déplacements de marchandises vivantes ou mortes et donc de nombreux camions sur nos autoroutes.
Il en est de même pour la production laitière ou pour la production de viande, toutes deux à partir d’herbe ou de maïs…
S’intéresser aux OGM c’est bien, faire en sorte que les pâturages soient bien exploités c’est aussi très bien surtout si quelques canadairs sont économisés.
En effet ces animaux qui pâturent, entretiennent notre paysage et le valorisent ; avec des productions aussi diverses que fabuleuses par leur originalité et leurs goûts ; notre candidat dans le contexte de la PAC se prononçait pour une véritable prime à l’herbe, nul doute qu’une telle mesure permettrait un meilleur équilibre surtout dans un contexte de renchérissement des céréales.
Cependant ce type d’élevage est source d’astreinte lourde nécessitant d’être allégées. Les élevages disparaissent en effet un peu à cause du manque de rentabilité mais aussi et surtout à cause de la qualité de vie déplorable qu’ils génèrent, et aussi du fait de leur difficulté d’adaptation aux différentes normes.
Et pourtant demain que sera une commune avec aucun agriculteur présent, aucun élevage présent ?
Il faut donc trouver des passerelles adaptées, innover et cela passe par la recherche.

La recherche :
Elle doit être renforcée, c’est elle qui dossier par dossier sans effet médiatique apportera les véritables réponses sur les OGM mais pas seulement. Sur la définition de modèles de production adaptés à chacune de nos régions dont les effluents seront gérés avec pertinence, dont la charge de travail sera répartie entre différents intervenants afin que pour reprendre les termes déjà définis par cette même recherche : l’agriculteur éleveur ne soit pas à la fois le décideur et l’exécutant.
Une fois définis ces modèles de production on pourra envisager d’autres types de partenariats ; en effet à l’heure actuelle l’application d’une norme se traduit toujours par une mise en conformité obligatoire, alors qu’en construisant des modèles observés dans leur fonctionnement au quotidien on pourrait valider des fonctionnements pour une à deux dizaines d’année ; en effet en agriculture nous sommes sur des échelles différentes y compris et surtout par rapport aux amortissements car un troupeau ne se construit pas du jour au lendemain et il faut trois ans à une petite vêle avant de donner naissante elle-même à une autre petite vêle.
On doit donc construire des centres de production fiables et pour cela une conjonction est nécessaire entre DDA, agriculteurs, services de l’environnement, etc. Mais avec quel capitaine ?
Je verrais bien une mise à disposition de l’agriculteur et de ses terres en propriété et en fermage à ce genre de structures afin que le lien avec le sol soit conservé.

Pour ce qui est de l’environnement paperassier de l’agriculture un suivi qualité me semble nécessaire, mais réalisé en amont et non pas en aval. Par un redéploiement des agents conseillers agricoles on pourrait avoir un suivi plus affirmé et validant vis à vis de l’administration, le conseiller jouant le rôle d’organisme certificateur de 1er niveau.
Le dossier PAC de chaque agriculteur élaboré conjointement avec un conseiller agricole spécialisé sur les productions de l’exploitation pourrait permettre une validation implicite permettant à l’agriculteur d’être déchargé des tracasseries habituelles liées à l’instauration des contrôles ; en effet les éleveurs qui acceptent et sont volontaires pour des raisons techniques de suivis n’ont qu’un faible nombre de non conformités et les plus importantes concernent l’application de normes de stockage ou de bien être c’est pourquoi je préconise la construction de modèles stables sur une durée longue, modèles à définir, je ne prétends pas détenir la solution, par contre cet axe de recherche trouve sa pleine expression à partir de ces exploitations qui se sont maintenues au fil du temps en investissant leur disponible majoritairement dans des mises aux normes, certes nécessaires, mais à courir ainsi derrière des normes, pour des durées d’exploitation qui sont parfois inférieures aux investissements l’exploitant est exploité et s’essouffle (car derrière le modèle familial ou pseudo familial faut il encore préciser si oui ou non il y a une suite c’est à dire un repreneur héritier potentiel) et le thème est immense…


En substance que proposer ?
· une meilleure adéquation des productions en fonction des spécificités régionales et des quantités qui y sont consommées
· un accompagnement accru des exploitations tout au long de leur existence avec un réel partenariat faisant intervenir les chambres d’agriculture et les pouvoirs publics
· la mise au point de modèles de production dont la pérennité soit assurée et mutualisée dans le temps car ce que l’on construit aujourd’hui doit être mieux que ce qui a été construit hier, mais cette évolution et l’effort demandé doit être réparti et non plus être rendu obligatoire parce que découlant de réglementations qui ont pour conséquence de compromettre le niveau de rentabilité
Si l’infrastructure d’un élevage (cheptel, bâtiments) a été créée aux normes en 1995 elle doit pouvoir fonctionner jusqu’en 2015 et ce serait mieux si cet effort était reparti entre les différents acteurs, avec un engagement des pouvoirs publics et non pas une visite de contrôle.
De plus si de l’argent public a servi à la construire cela impose de s’assurer de son fonctionnement et pour cela mieux vaut la détacher de l’exploitation traditionnelle pour la construire géographiquement ailleurs, genre zone industrielle agricole
Ainsi avec une transparence des coûts de production, non pas marge brute mais bien marge nette, une juste rémunération et une qualité de vie comparable aux autres catégories socio professionnelles, une agriculture française pourra perdurer dans des conditions de vie et de travail décentes et faire la richesse de nos terroirs et de nos paysages.

SEIGNOSSE : Peu importe le nom pourvu qu’on ait l’ivresse

SEIGNOSSE-MODEM : Vive le Mouvement Démocrate !

Après une mise en jambe dans la forêt landaise où nous avons pu constater que l’action de l’homme sur les écosystèmes ne datait pas d’hier, mais plutôt d’un siècle et demi, un programme très chargé et hyper studieux nous attendait. Trois axes semblaient sous tendre ces propositions d’approfondissement, avec d’une part des thèmes économiques et d’autre part des thèmes ayant trait à l’organisation du nouveau Mouvement Démocrate. sans oublier les échéances électorales prochaines : municipales et cantonales.

Il faut dire que sur ce dernier point la charte éthique rédigée par François Bayrou rendit les contributions du jour ternes, bien qu’il ait pris soin de s’inspirer des nombreuses contributions (700 environ), les participants présents ayant une crainte : celle de ne pas être entendus et une volonté : sortir des chausse-trappes d’un parti de notables, dont ils ne veulent plus entendre parler .

Toutefois nous pouvons considérer que les valeurs du centre, transcendent la sémantique (pardon les valeurs du Mouvement Démocrate) car nous avons adhéré à d’autres familles centristes qui se sont déjà retrouvées dans la nouvelle UDF il y aura bientôt dix ans alors une fois de plus ou de moins… « au plagiaire j’abandonne mes vieilles nippes et me fait un plaisir de me couvrir de neuf » (Scarron). François Bayrou a évoqué sa trajectoire et donc la nôtre avec lui, mais sans en donner la véritable conclusion : la plupart des anciens sont attachés à la famille démocrate, peu importent les sigles, et aujourd’hui des personnes de divers horizons viennent nous rejoindre c’est bien, tant mieux.

Par contre personnellement, je n’accepterais en aucune façon qu’une sorte d’apartheid s’instaure entre les nouveaux et les anciens, et je veillerais à ce que tout le programme et le discours de François Bayrou soit la trame de ce mouvement

Il nous a assuré qu’il préserverait et les uns et les autres, faisons-lui confiance, à lui qui au fil du temps a montré d’inlassables capacités de rassemblement.

Au bout du compte il existe un seul problème à gérer, certes non des moindres, celui des élus. Un socle d’élus est nécessaire et indispensable à la réussite de notre candidat, et il serait naïf de prétendre le contraire et de laisser pendant cinq ans couler le temps…. C’est pourquoi l’expérience de ceux qui ont porté François Bayrou s’avère plus que jamais nécessaire ; le temps presse et dans un nombre non négligeable de situations, l’humaniste le mieux placé c’est quand même le sortant

Pour fourbir ses armes, que chacun fasse un point de sa situation, mandats renouvelables, forces en présence, possibilités de soutien, d’alliance en fonction de projets…

Et que toutes les bonnes volontés s’investissent en réunions, tractage, covoiturage, et ce de manière altruiste et désintéressée, c’est dans la charte !

A Seignosse le fait de réfléchir à une charte éthique avec une participation massive aux ateliers de construction du Mouvement Démocrate était peut-être une étape nécessaire mais la découverte des véritables valeurs humanistes passait par les autres ateliers d’une qualité exceptionnelle.

Tout comme la croissance ne se décrète pas, la construction d’une nouvelle approche, ne saurait se contenter des seules fondations, certes indispensables et que l’on souhaite les plus solides possibles : la maison reste à construire. « Car, l’attractivité d’une famille politique ne se résume pas à sa capacité à attirer de nouvelles forces, elle passe aussi par une aptitude à toutes les intégrer dans le temps ».(D. Bariani)

Réunion publique du MoDem pour les Législatives

Meeting MoDem à Albi hier soir dans le cadre des élections Législatives en présence de Mme Anne Laperrouze -députée Européen-. Frédéric Esquevin et moi-même nous nous sommes exprimés pour la 1ère circonscription.

En ce qui me concerne, j’ai fais l’intervention suivante :

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

C’est fort de la confiance de Frédéric que je m’adresse à vous. Sa légitimité venue des urnes en 2002 avec un score de 14%

Je m’adresse aussi à vous pour vous préciser un certain nombre de spécificités de la 1ère circonscription.

Son ancrage à gauche est constant et pourtant, pour la 1ère fois, on trouve au 1er tour de la présidentielle un rapport 52/48 en notre faveur.

Il suffirait de presque rien....

Face à ce défit, notre stratégie consiste

- à labourer le rural : je m’y emploie avec une référence à François Bayrou

- à prospecter l’urbain par un quadrillage systématique de NUIT comme de JOUR

- à passer et faire passer un message aux Carmausins : celui de la diversité obligatoire en démocratie y compris pour eux, à gauche.

Car contrairement à d’autres situations dans ce département nous n’avons pas de socle d’électeurs suffisant pour nous permettre d’avancer chacun pour soi

Seul le Tarn Nord nous réunit et la situation fiscale de certaines communes nous impose de mettre en exergue NOTRE COMPLEMENTARITE

C’est pourquoi nous formons un couple atypique.... pour une campagne atypique.

Si l’on a coutume de dire que le Gaullisme propose « une certaine idée de la France », alors le courant Social Démocrate propose « une certaine idée de l’Europe ». En effet, je reste persuadé que certains NON au référendum étaient des revendications pour un Europe plus juste, plus sociale, plus équitable, moins paperassière.

C’est pourquoi, je retrouve de nombreuses valeurs chez Frédéric proches de la Sociale Démocratie et ne reniant en rien les valeurs gaullistes qui sont siennes dans un humanisme de bon aloi.

C’est pourquoi, il faudra très bientôt distinguer la droite humaniste et gaulliste d’une droite plus dure médiatico-financière tournée vers le profit et dans laquelle l’électorat s’est fourvoyé

C’est pourquoi à défaut de respecter la parité dans notre couple c’est bien de complémentarité dont il s’agit et cette complémentarité nous la mettons en action au quotidien pour mettre en avant un ticket rurbain dont nous souhaitons qu’il soit le ticket gagnant Nos méthodes de travail, avec une équipe dynamique, sont celles du 21° siècle : elles incluent AUDACE, INTREPIDITE, DISPONIBILITE, RAPIDITE DE COMMUNICATION, ADAPTABILITE AUX MANŒUVRES POLITICIENNES Cette efficacité de terrain couplée au monde moderne vous ne la rencontrerez chez aucun des douze autres candidats

Et OUI..... 13 candidats pour 50000 voix potentielles de VAOUR à VILLEFRANCHE en passant par Cordes, Monestie, Mirandol, Pampelonne ....

Un constat, si la gauche est largement représentée ; la droite ne l’est pas moins Avec évidemment, désespérément plusieurs centres

- Il ya le centre façon UMP, ceux qui depuis longtemps ne voulaient pas croire en François, depuis 2002

- Il y a les ralliés qui

- FORMANT UN GROUPE - donnent la possibilité à tous les candidats UMP de se targuer d’un sigle UMP/UDF

- Il y a - les mêmes – qui se sont découvert un nouveau centre : le Parti Libéral Social Européen

- Il s’y rajoute les UDF qui n’ont pas encore bougé

- Et ceux qui ont bougé et suivent le chef : les UDF Modem

Je n’évoquerais pas les différentes composantes du centre gauche très présentes médiatiquement chez nous

ET NOUS SAVONS DEPUIS LE 22 AVRIL QUE LE CENTRE C’EST 20%

A CE STADE PLONGEONS-NOUS DANS LE PETIT LAROUSSE On y trouve :

RALLIEMENT : l’idée du plus fort s’impose

RASSEMBLEMENT : la confrontation des idées aboutit dans le respect de l’autre à un consensus

Revenons à la première et à la possibilité de voter au centre

Nous avons une candidate UMP/UDF

Nous avons un candidat parachuté PLSE, mici dominici envoyé directement du personnel de l’assemblée nationale (forcément il est en congé !)

En vérité je vous le déclare parce que depuis 1989 (non pas 1789) au CDS je n’ai jamais croisé aucune de ces personnes fort respectables au demeurant dans notre courant centriste

Cela pose une redoutable question pour l’électeur ? Comment reconnaître le faux du vrai et l’original de la contre façon

Il ya les idées

Sur l’Europe l’acceptation d’un texte hors cadre référendaire ou NON

Sur la dette peu importe pour certains que le programme du nouveau président soit chiffré vers 50/60 milliards d’euro

Je signale que ce n’est finalement qu’une année de plus sachant que la dette s’aggrave d’autant chaque année

Il y a les hommes pour faire un lien avec mon précédent propos je dirais parce que je l’ai écrit que François Bayrou était le candidat le moins cher. Fort de 7 millions de voix avec 18,57% des suffrages il n’est crédite dans les sondages que d’un très faible nombre de députés Cela pose un problème majeur celui de l’évolution de nos institutions

D’où viendra la critique constructive ?

Je laisse à d’autres le soin d’en débattre

Le seul vote utile est celui de l’UDF Modem dans le sillage de François Bayrou

Avec une couleur, avec une seule couleur,

Celle que Marielle rappelait récemment

Une couleur portée avec panache :

ORANGE

Suppléant... vous dites suppléant ?

Christian Andrieu, vous êtes centriste avec François Bayrou, pourquoi cet engagement au côté de Frédéric Esquevin ?
C.A. : Notre circonscription d’Albi-Carmaux présente de très nombreuses bourgades rurales. On trouve pêle-mêle : Cordes-Vaour, Monestiès-Salles, Villeneuve sur Vère, Pampelonne, Mirandol, Tanus, Valence, Villefranche. L’élu albigeois qu’est Frédéric veut être à l’écoute de cette diversité et pour cela il m’a demandé de l’aider – je suis en effet l’élu modeste d’un tout petit village, mais aussi et surtout de par ma profession, je connais bien tous ces territoires pour les avoir longuement sillonnés pendant une trentaine d’années, en tant que conseiller agricole.

Votre principal objectif pour cette législative, quel est il ?
C.A. : Faire en sorte que notre tissu rural reste dense avec plusieurs exploitations agricoles par commune et pour cela être attentif à leur maintien et à leur transmission car derrière chacune d’entre elles existent plusieurs emplois induits, visibles directement – ce sont les artisans commerçants (indispensables garagistes aux mains d’or) mais aussi maçons, etc, …, ou moins visibles tels que personnels d’abattoir, personnes en charge de l’hygiène, toutes ces personnes gravitent autour de dizaines de fermes qui produisent tout en entretenant notre territoire, et de fait le valorisent. Leur maintien , leur transmission implique fortement la jeunesse- père de trois enfants, impliqué quotidiennement dans une exploitation produisant du veau du Ségala- je pense pouvoir porter un regard empreint d’expérience sur ces problèmes et en faire profiter Frédéric.

Et le récent Mouvement Démocrate ?
C.A. :
Si le sigle est nouveau, je rappelle que la famille centriste, largement européenne, avec Jean Monnet, Robert Schumann, et plus récemment sous la 5° Jean Lecanuet, et maintenant François Bayrou, sera toujours présente : son électorat fait la sagesse de nos institutions, il rejoint par son humanisme le Gaullisme. Si l’on veut rechercher les différences infimes on pourra dire que le Gaullisme a coutume de proposer une certaine idée de la France, alors que le courant social démocrate propose une certaine idée de l’Europe, que l’on aurait tort de réduire dans le temps à des épisodes tels que le récent référendum : cette étape , certes essentielle finira bien par être franchie, validée par le peuple, et les difficultés qui nous occupent, font sans doute sourire les pères de l’Europe, voyant leurs peuples et leur projet débattu avec passion, et réclamant finalement tous plus d’Europe, même si momentanément ils ont pu dire « Non » agacés par une dérive paperassière et de fait illisible.

C’ est pourquoi, je retrouve de nombreuses valeurs chez Frédéric, proches de la social démocratie et ne reniant en rien les valeurs gaullistes, dans un humanisme de bon aloi. J’ai donc accepté de le soutenir de toutes mes forces pour le Tarn Nord.

De plus, l’échiquier politique change, la volonté du citoyen de rejeter les extrêmes trouvera j’en suis certain son aboutissement dans un recentrage que nous construisons chaque jour.

Vous avez dit Tarn Nord ?
C.A. : Ce Tarn Nord – vous comprendrez qu’il est cher à mon cœur, avec ses contradictions, ses diversités, la maison que j’habite a été construite grâce à la mine en 1876 par mon arrière grand père - ce Tarn Nord doit gérer au mieux les pièges dans lesquels il s’est laissé entraîner. Seule, une activité économique renforcée peut permettre de redresser la pente en déclinant toutes les synergies possibles d’un bassin d’emploi proche de Toulouse qui débute à Gaillac-Marssac pour terminer à Carmaux, via la Croix de Mille.

Et la qualité de vie ?
C.A. : Il existe toujours, un meilleur et un pire. A ce titre il faut que la solidarité inter génération puisse continuer à s’exprimer, en progressant notamment au niveau des très petites retraites des veuves d’agriculteurs. Quant aux services publics leur maintien paraît incontournable dans nos zones rurales pour maintenir un maillage indispensable axé sur le service à la personne, dans lequel on trouve aussi l’omniprésence des travailleurs sociaux. Par contre et pour terminer, notre secteur doit tirer profit de son positionnement stratégique par rapport à trois thèmes :

Toulouse est devenu très proche,

L’axe Lisbonne Munich passe aux Farguettes,

Mieux vivre chez nous.

Tout cela, doit permettre de fixer notre population active, jeunes et moins jeunes, pour qu’ils vivent aussi bien que nous dans ce vaste Ségala, qui inclut une part de Causse, et peut être mieux qu’ailleurs.

"Le mouvement démocrate sera le parti de la liberté !"

10 mai 2007

François Bayrou : "Le mouvement démocrate sera le parti de la liberté !"

Devant 2500 personnes, François Bayrou a rappelé la "magnifique aventure" de l'élection présidentielle qui l'a vu rassembler sur son nom sept millions d'électeurs. Venant de droite, de gauche, du centre. Le président de l'UDF assure que la confrontation des blocs sera contre-productive pour la France et les Français. C'est dans ce contexte qu'il a appelé à la création d'une nouvelle force politique, le Mouvement démocrate. Il réunira des sensibilités venues de toute part. Des écologistes, des gaullistes, des centristes de droite et de gauche viendront s'amarrer à ce nouveau parti. François Bayrou a également annoncé que près de 22.000 adhésions se comptaient déjà à ce jour, sans aucune publicité. Qui forment les bases de ce nouveau mouvement. Il "défendra les citoyens devant le pouvoir". Les parlementaires seront libres de leur vote, dans un mouvement unique de la vie politique française. Il a conclu par une allusion aux deux partis majoritaires : "Je ne quitterai pas l'allégeance de l'un pour me réfugier dans celle de l'autre." Les conseillers nationaux ont approuvé à une très large majorité la création du Mouvement démocrate.

LETTRE AUX INDECIS

Lettre ouverte aux indécis….à la recherche du meilleur président…
Le moins cher : avec 1200 milliards d’euros de dette publique, et un déficit annuel de 45 milliards d’euros, rechercher le candidat le moins cher, celui qui nous coûtera le moins, tombe sous le sens. François Bayrou équilibre les dépenses par les recettes alors que d’autres affichent 50 à 60 milliards de promesses,
Celui qui nous respecte : sur l’Europe il a été le premier à proposer un nouveau référendum. Celui qui veut que tous les enfants qui rentrent en 6° sachent lire et écrire. Celui qui propose à chaque entreprise quelque soit sa taille de créer deux emplois nouveaux sans charges et qui s’engage à proposer à toute personne bénéficiaire d’un minimum social une activité rémunérée au service de la société dans une collectivité ou une association. Celui qui appliquera le pacte écologique. Celui qui ne pactisera jamais avec les extrêmes mais qui a la volonté de rassembler les meilleures compétences.
Celui qui nous ressemble : universitaire il a travaillé de ses mains,
CELUI QUI NOUS RASSEMBLE : FRANCOIS BAYROU

PAYSANS du Ségala et du Causse

PAS DE PAYS SANS PAYSANS : du Ségala ou du Causse ils doivent être suffisamment nombreux pour occuper et faire fructifier nos territoires ruraux, menacés à la fois par la désertification et par l’urbanisation, et les transmettre en toute sérénité à nos enfants. De plus en plus seul, l’agriculteur, souvent éleveur, est entravé par de très nombreuses règles. Dirigeant et responsable d’une petite entreprise, qui génère plusieurs emplois induits, il en est aussi fréquemment l’exécutant unique : nul doute que la proposition de François Bayrou de créer deux emplois sans charge pourra aider.

En effet, par obligation et pour obtenir les indispensables compensations de prix de ce qu’il produit (lait, viande, céréales, vin) l’agriculteur a du passer de l’oral à l’écrit sans aucun droit à l’erreur. Sans ces compensations il ne pourrait ni vivre, ni continuer à produire. Si elles devaient disparaître ce ne pourrait être qu’au profit de prix rémunérateurs, permettant de dégager un revenu comparable aux autres catégories socio- professionnelles.

Nos fermes produisent des produits d’excellence, labellisés, AOC Gaillac, veau et volailles du Ségala, lait ou fromages de vaches ou de chèvres, agneau de pays, porcs charcutiers, oies et canards, nourris avec des céréales et de l’herbe. Nos exploitations produisent déjà des biocarburants, elles en produiront plus encore car ce sont des énergies renouvelables dont nous avons besoin, l’objectif étant seulement de satisfaire aux directives européennes. Ces productions concurrentielles parce que nouvelles, orienteront à la hausse le prix des produits agricoles.

Et le panier de la ménagère dans tout cela ? observons, il comprend des produits laitiers, du pain, de la viande, des légumes, du vin, des fruits pour l’essentiel. Et il ne pèse que
13% du budget. Les produits d’ excellence issus de nos terroirs doivent y être présents tout comme dans la restauration collective pour permettre au consommateur de cultiver le goût de l’authentique en ne payant pas forcément plus cher (circuit direct). Renouer avec le bien manger, permet aussi d’avoir un impact sur la santé publique, par une alimentation saine et équilibrée .
Enfin, la recherche doit être le ciment nécessaire pour définir les fermes de demain, combien de travailleurs dans chacune, quelle capacité de production ? la recherche doit aussi permettre le développement de l’agriculture raisonnée, déjà très présente, mais aussi biologique. La recherche neutre , impartiale est la seule façon de poser le problème des OGM non pas de façon globale mais dossier par dossier avec rigueur et autorité.

C’est pourquoi, l’agriculture de chez nous, comme celle de la France, la première en Europe, doit tenir toute sa place, dans la valorisation de nos espaces ruraux, par l’homme, mais aussi et surtout pour l’homme.

COMITE BAYROU TARN NORD

François Bayrou a récemment parcouru le sud de notre département en compagnie de nos représentants, pour la région Midi Pyrénées : Henri Géraud président de l’UDF, pour l’Europe : Anne Laperrouze, pour la France : Philippe Folliot.
Depuis toujours, on trouve dans nos rangs, des européens convaincus, des pères de l’Europe Schuman, Monnet, ce qui nous engage dans un OUI à l’Europe, car seule elle peut nous permettre d’exister en tant que Français dans une France reconnue. Cette Europe ne saurait être indéfiniment étendue, et seule, une décision prise par référendum, aura la force nécessaire avec le suffrage universel de revenir sur le NON dont il faut approfondir la teneur. A l’heure de la mondialisation, il faut considérer que l’Europe c’est le dixième de la population mondiale, et la France le dixième de l’Europe. Il faut savoir en tirer les conséquences….
Depuis presque toujours, notre courant, évoluait à pas feutrés. Avec François Bayrou c’est l’affirmation d’un centrisme extrémiste qui bouscule le jeu des alternances. Extrême et hardi car il sera toujours plus difficile de se battre contre deux adversaires plutôt que contre un seul. Ce n’est pas d’hier. Si le coup d’envoi du PARTI LIBRE fût donné à LYON en janvier 2006 sous la neige, il faut revenir aux démocrates sociaux et aux sillons que François Bayrou a tracé pour recréer une véritable force démocrate
Sachons cependant que, plus que le désir d’exister au centre, qui pourrait paraître égocentrique, c’est bien du rassemblement de toutes les compétences dont nous avons besoin car le balancier de la pendule pour égrener son tic tac à besoin d’aller de droite à gauche et de gauche à droite. Le centre et l’UDF sont le lieu de rencontre et d’expression de valeurs propres à notre pays bercées par un humanisme essentiel :
- LIBERTE : agir, entreprendre, sans écraser, sans étouffer, en respectant l’homme
- EGALITE : qui renvoie à la juste rémunération de l’effort
- FRATERNITE : savoir tendre la main, et savoir comment la tendre ?
Le centre, c’est l’intime conviction qu’il faut sortir des surenchères démagogiques qui ont conduit à la dette pharaonique de l’état, multipliée par six depuis VGE et Raymond Barre, pour atteindre presque la moitié du budget de l’état, paralysant toute action, toute initiative.
Sachons également que quelque soit le prochain président, sa marge de manœuvre sera limitée à cause de cette dette qui, si elle augmente encore continuera d’handicaper les générations futures : nos enfants. Reconnaissons que l’un des mérites de François Bayrou dans cette campagne est de positionner avec rigueur le coût des programmes et de dire aux Français qu’ils auront à les assumer avec leurs impôts.
Pour ce rendez vous capital pour notre pays, nous avons besoin de vous et nous vous lançons un vibrant appel afin de rassembler et d’exprimer les propositions de François Bayrou, un homme bien de chez nous, partageant nos racines.
Enfin, quand un parti a pour budget annuel ce que d'autres peuvent dépenser en un seul meeting, chaque adhérent mais aussi chaque sympathisant doit participer, selon son âge, sa disponibilité, ses possibilités financières.

Christian ANDRIEU – ALMAYRAC-
Délégué départemental de l’UDF, correspondant de François Bayrou pour la première circonscription du Tarn

CITATIONS

Une seule photo dans le bureau de François : ROBERT SCHUMAN

LES STATS

SONDAGE CSA: 55% DES FRANÇAIS SOUHAITENT QUE BAYROU SOIT AU SECOND TOUR
74% C EST LE NOMBRE DE FRANCAIS QUI JUGENT QUE FRANCOIS BAYROU EST LE CANDIDAT LE PLUS CREDIBLE

VOUS AVEZ ACCOMPLI DES ACTES HEROIQUES, GARDEZ VOUS DE VOUS EN ENORGUEILLIR, ALORS VOUS CESSEREZ D ÊTRE DES HEROS (attribué à Mao Tse Toung) Pouquoi cela ici? parce que il en faut du courage, pour résister et si nous tombons, ce sera les armes à la main fiers du combat que nous aurons mené

FRANÇOIS BAYROU : une nouvelle approche de la gestion de la France !

François Bayrou incarne tout à la fois une nouvelle approche de la gestion de notre France, s’inspirant de la méthode GAULLISTE :

L’intérêt du Pays passe avant tout, et pour cela il martèle sans arrêt :

- Sa volonté de réduire notre niveau d’endettement (un à deux pavillons par famille). ce niveau d’endettement va limiter, de fait, les actions du gouvernement futur quel qu’il soit et imposera des ajustements, car la trappe budgétaire nous est cadrée par l’Europe. Mal nécessaire, qui contribue a maintenir la stabilité de l’Euro, cher par rapport au dollar (1,3) ce qui est du pain béni pour acheter le pétrole
- Son engagement à présenter des budgets de fonctionnement en équilibre, et se donner la possibilité de l’emprunt seulement pour des investissements utiles aux futures générations, ce qui ne peut être critiqué car c’est du bon sens, quant il faut emprunter pour acheter son pain, le budget du ménage est mal...

Tout le monde le sait sans argent on ne fait rien, et les orientations prioritaires qui sont les siennes restent modestes , et sont conditionnées, par une approche de bon sens des finances publiques relayées par deux fidèles spécialistes capables de faire trembler tous les ministres des finances, Charles de Courzon, Jean Arthuis.

Alors, on peut nous promettre qu’on rasera gratis demain matin, mais il faut noter que celui qui s’est exprimé ainsi à commencé à consommer en une fois chaque année l’équivalent de la totalité du budget annuel de l’UDF et chaque fois en deux jours : pour son intronisation à l’UMP, et ensuite pour sa candidature. Vous aurez aussi constaté que la candidate du PS est suffisamment pourvue pour se déplacer aux quatre coins du monde, et elle n’y va pas seule mais largement accompagnée.
C est pourquoi, s’il fallait trouver deux références à François Bayrou ce serait deux "visseurs de boulons" : Michel Rocard, Raymond Barre.

Qu’y a t il de Gaulliste dans cette démarche, c’est bien la capacité à dire non, à vouloir relever la France en lui redonnant des marges de manœuvre, et pour cela à appeler toutes les volontés et les compétences à participer à cet effort, qui risque de ne pas être spectaculaire, laissant les médias sur leur faim...


L’HOMME

C est la France d’en bas, proche des Pyrénées, avec des valeurs de la terre d’Oc, valeurs qu’il a su chanter dans ses livres, dans son action, tout au long de sa vie, non pas que d’autres régions ne puissent revendiquer des qualités identiques, mais cette France du Sud a vu dans son histoire tellement passer de courants, d’ethnies, de peuples, que le brassage et l’adoption y sont une donnée historique. A Toulouse, à Pau, depuis des siècles la démocratie s’est invitée dans la monarchie, et l’épisode des Cathares nous rappelle les dérives des pouvoirs établis, Nous sommes rebelles au pouvoir central, et pour en revenir à François Bayrou : il est le seul à ne pas être du sérail parisien.
Cultivé, ministre de l’éducation, capable de vivre avec le mammouth, et là chapeau ! Il est issu de la terre, cette terre de France ou chaque fois qu’on la gratte, on trouve le bon sens paysan.
Ayant rempli le rôle de soutien dans l’exploitation familiale, modestement nous nous ressemblons, et cela me fait chaud au cœur ; il m’arrivait d’étudier sur le tracteur en labourant, si j’en crois les photos, la même marque que le sien, le leur, et sa détermination a cultiver ses racines, en étant éleveur me séduisent, moi qui suis aussi éleveur, mais de vaches, (là encore le chef c’est le chef, il a des chevaux !).
J’ai suivi son parcours, adhérent moi même au CDS depuis 1989, puis à Force Démocrate avant l’avènement de la nouvelle UDF.
J’ai vu ses efforts pour rassembler le centre avec les différents courants qui le composaient, et les hésitations de radicaux valoisiens tombés depuis dans l’UMP, j’ai vu les menaces reçues personnellement de la part de l’UMP, si vous n’adhérez pas avant telle date, vous serez …(on va dire oubliés)... et il faudrait que je vote Nicolas ???
J’ai vu l’homme rencontrer notre Président de la République, au lendemain de la vague rose des régionales, et surprise voir appliquer les principales décisions qui nous auraient permis de ne pas ouvrir tant de régions à la gauche (frustrée il est vrai de la dernière élection présidentielle).
J’ai vu de très près, ses fidèles lieutenants pour des raisons diverses, et pitoyables, aller à la soupe, pendant un temps, on aurait dit qu il suffisait que tel ou tel se rapproche de François Bayrou pour qu’un mystérieux ressort se déclenche, au prétexte d’être incontournables et d’avoir des idées, ces personnes ne réalisant pas que l’UMP leur faisait l’aumône, ... les achetait !

J’ai enfin vu la naissance à Lyon du PARTI LIBRE en janvier 2006, et la volonté exprimée, d’exister au centre et d’approuver ce qui est bon de gauche ou de droite, j’ai vu la naissance d’un HOMME qui a rendez vous avec son destin, avec la France, ce sera le 6 mai 2007.


LA GAUCHE/LA DROITE - LE BIEN/LE MAL

Assez, cela suffit, cela nous a conduit à la banqueroute dans une spirale de surenchères toutes imputées à l’état providentiel, à ceci près que l’état c’est nous, et quelques uns de se lâcher d’une explication sur la baisse des impôts, alors que le citoyen ne fait pas de différence entre l’impôt de sa commune, de son SIVOM, SICTOM, de l’intercommunalité, du département, de la région, de l’Etat et de toutes les diverses taxes qu’ il a à supporter. Ce qui l’intéresse c’est de savoir sur 100€ de revenus ce qu’ il donne globalement ! Il est lassé d’entendre : les prélèvements de l’Etat n’ont pas augmenté.
Une décision, mesure pesée s’appliquent pour le bien de tous, inutile de jeter dans la rue des catégories socio professionnelles entières. Il ya bien longtemps que j’ai considéré que la gestion des intérêts des citoyens n’était pas une affaire de gauche ou de droite, les faits sont têtus et n’en déplaise aux nobles politiciens, un aqueduc incliné a gauche tire l’eau vers la gauche, à droite vers la droite.
Nous allons enfin, avec François Bayrou profiter de toutes les compétences, les Allemands l’ont fait avant nous avec Angela Merkel , les Autrichiens aussi...


AVEC FRANCOIS BAYROU NOUS AURONS ENTRE AUTRES :

- Enfin un sérieux contrôle des dépenses de l’État, orientées vers les réelles priorités pour le Pays

- Le soutien à l’emploi grâce à la création de deux emplois sans charge pour toutes les entreprises

- L’école de la réussite pour tous les enfants avec des classes d’excellence partout sur le territoire

- Une première expérience concrète pour les jeunes avec le service civique en complément de leur allocation

- Un état impartial qui privilégie les compétences plutôt que le copinage, qui respecte l’argent public, un Parlement démocratique ou toutes les opinions sont représentées

- Un environnement protégé grâce à un plan national et une fiscalité en faveur des énergies renouvelables


MEDIAS :

En voulant instaurer une bipolarisation à l’américaine, l’UMP et le PS, s’appuyant sur les médias, risquent de lasser et c’est là la force de la France ensemble, aussi pour être informés, et bien informés, il faudra donner la priorité à la radio, à Internet, et à quelques journaux. Gageons que le peuple français ne se laissera pas enfermer dans cette spirale et nous réservera une belle surprise en positionnant François Bayrou au deuxième tour.
On entend souvent critiquer le système américain de façon amicale : ils ont été et sont nos alliés (je suis allé en Normandie). Mais cette fois osons, osons affirmer notre attachement à la diversité, notre attachement à la République, une et indivisible, et laissons exprimer notre diversité qui, loin des visions simples, simplistes, nous permettra d’échapper aux pouvoirs de l’argent aussi dangereux pour le PS que pour l’UMP.

Voter François Bayrou c’est leur rendre un fier service : celui de s’affranchir de cette spirale de l’argent, sachant que l’UDF n’est pas à égalité pour mener sa campagne cependant, qu’on se le dise !

LA BEARNAISE EST EN TRAIN DE PRENDRE !!!

REFERENDUM sur l'Europe

Ce qui est certain : de nouvelles façons de fonctionner sont incontournables, car on ne peut laisser la gouvernance de l'Europe aux seules mains de la commission, pour plus de démocratie le parlement européen doit être la structure décisionnelle, et je le concède, le mode de désignation de nos députés doit être plus direct et moins dilué.
Le plan alternatif, le fameux plan B n'existe pas, n'en déplaise à ceux qui ont fait campagne sur cet argument.
La responsabilité de l'électorat agricole est lourde ; je rappelle qu'un député européen et non des moindres puisque ancien président de la FNB se refusait à envisager l'explication de l'évolution de la politique agricole commune aux agriculteurs dans un contexte de NON au référendum.
Celle de certains premier ministres, ne l'est pas moins, là encore la politique politicienne s'est exprimée pleinement, au mépris de l'objet essentiel que constituait la mise en route d'une nouvelle Europe, il est vrai qu'en France plus qu'ailleurs la crainte d'un affaiblissement de la politique et donc de la gouvernance au niveau National est sans aucun doute un élément à prendre en compte, les pays avec des pouvoirs régionaux plus forts sont peut être plus européens. Et pour la première fois depuis la création de l'Europe, nous étions absents à Madrid lors de la réunion des pays qui ont dit oui au référendum. HONTE, honte ressentie par nos députés européens, qui rejaillit sur notre pays, et qui accentue encore notre mal être.
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Merci aux efficaces collaborateurs qui ont su dénicher ce diaporama !!!